J'aurais sans doute pu (du?) étayer un peu mon propos sur l'étrangeté du Jonah Hex post-apo, son histoire, tout ça, mais voyez-vous, là est justement tout l'intérêt du personnage : Jonah Hex n'a pas besoin d'histoire, comme nous le démontre avec beaucoup d'à-propos le toujours très pulp Francesco Francavilla.
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